Naissance du projet French Tech
Depuis Avril dernier, Axelle Lemaire, secrétaire d’Etat chargée du numérique, ne cesse de chercher (et de trouver) des solutions pour mettre en avant le savoir faire français en matière d’innovation et de technologique numériques. Ainsi, le projet French Tech a vu le jour rapidement, sous l’impulsion de Fleur Pellerin avant elle, avec pour objectif de valoriser les métropoles disposant d’un écosystème numérique dynamique, où les start-up trouvent éco à leurs idées et à leurs besoins.
Ce Label a pour but non seulement de favoriser les installations de porteurs de projet, mais aussi de les échanges nationaux et internationaux, et de multiplier les appels. Si aucune dotation financière n’est offerte aux détenteurs du Label, ceux-ci peuvent toutefois plus facilement prétendre à des aides locales et / ou privées. La communauté French Tech, elle-même, organise avec la bienveillance d’autres sociétés des concours avec, à la clé, financement privé.
9 lauréats en 2014
Au lancement du projet, 15 agglomérations s’étaient portées candidates au Label French Tech, présentant par là leur projet développement, mais aussi leur situation actuelle et leur réussite dans le domaine du numérique. En novembre dernier, seules 9 d’entre elles ont été labélisées. Nous vous invitons à les découvrir dans l’animation ci-dessous.
Les villes non-retenues (à savoir Brest, Nancy-Metz, Nice-Sophia Antipolis, Rouen, Saint-Etienne et Toulon) pourront toutefois se représenter à nouveau dans le futur et décrocher, elles-aussi, le précieux sésame. En savoir plus : http://france3-regions.francetvinfo.fr/rhone-alpes/2014/11/12/neuf-metropoles-dont-lyon-et-grenoble-recoivent-le-label-french-tech-590358.html.
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